Apikia est construit sous la forme d’un quartier. L’entrée par la passerelle couverte mène à un jardin secret, où tous les membres et invités de notre Apikia sont invités à se rassembler et à apprécier les sons des champs de roseaux, à regarder les raisins pousser dans leurs nids en vannerie et à profiter de toutes les commodités modernes auxquelles on peut penser. Par la passerelle intérieure, la vue s’ouvre sur un panorama de la Caldera et des îles voisines. Nos suites, séparées les unes des autres par une végétation luxuriante, offrent des vues spectaculaires sur Fira tout au long de la journée, baignées de soleil pendant la journée et absolument magnifiques la nuit. Les fenêtres sont judicieusement placées de manière à maximiser le plaisir visuel de nos hôtes. Ce nouveau « quartier » de Pyrgos renferme à la fois la tradition, la fonctionnalité et l’orientation future, donnant ainsi le ton à l’époque.
*sous réserve de disponibilité
*sous réserve de disponibilité
Le terrain qui abrite aujourd’hui l’Apikia Suites a une histoire qui fait partie de la vie quotidienne et de l’histoire de Santorini. Cette histoire remonte à l’époque où Santorini était constamment menacée par les pirates et où la nécessité de fortifications a conduit à la création de Kastelia, comme celle du village de Pyrgos, situé à proximité. À l’époque, le domaine d’Apikia a été confié par les habitants au monastère du Prophète Élie avant d’être attribué à la famille qui le possède encore aujourd’hui.
« Il était une fois une jeune fille nommée Georgia. Son père l’emmenait chaque fois qu’il venait ici pour qu’elle l’aide à travailler la vigne et lui tienne compagnie.
Elle entendait le murmure du vent, regardait la mer, chantait et jouait joyeusement autour de son père qui travaillait la terre. Elle aimait profondément cet endroit. Elle avait l’impression que l’endroit lui appartenait, même s’il ne leur appartenait pas… pour l’instant.
Elle prenait soin de la vigne, cueillait des fleurs et construisait de petites maisons avec des pierres et des cailloux et rêvait. Vous rêvez d’être propriétaire de ce terrain. De construire une grande maison avec beaucoup d’espace pour tout le monde. Ceux qui ont travaillé cette terre en sont tombés amoureux, même si elle ne leur appartenait pas. Chaque fois qu’elle venait ici, elle ramassait un caillou et le gardait jusqu’à la prochaine fois, où elle en ramassait un autre. Chaque fois, un nouveau caillou ; chaque fois, un nouvel espoir. Cette fille n’est plus parmi nous. Mais avant de partir, elle m’a laissé sa boîte remplie de cailloux et son rêve.
« Mon garçon, ces pierres vous appartiennent maintenant. Vous savez ce que vous avez à faire. En souvenir du bon vieux temps, par amour, pour les souvenirs… »
C’est pourquoi nous vous accueillons aujourd’hui dans notre APIKIA, une propriété aux suites modernes, respectueuse des rêves qui y ont fleuri.
